Journées Européennes du Patrimoine 2021
ECHO0 - Simon Lazarus
Catégories : Blog, Recherche et CréationPublié le : 8 septembre 2021Dernière mise à jour : 28 mars 2022

“Le catalogue des Possible”, un reportage de Claude Pauquet, en résidence depuis 2020 aux Usines.

Claude Pauquet mène un travail d’enquête sur le territoire de la décroissance et des utopies concrètes, au cours duquel il va à la rencontre des acteurs qui proposent des applications et des solutions s’inspirant d’une critique de la société productiviste.

Le changement climatique, la catastrophe écologique et sociale, les mutations qui se profilent à l’horizon de la fin du 21ème siècle, sont des axes majeurs de son travail.

C’est comme une évidence, une urgence pour lui de photographier les gens qui font un pas de côté pour des raisons militantes et qui réfléchissent aux conséquences pour la planète du dérèglement climatique.

Claude Pauquet est distribué par l’Agence VU’ depuis 2003. Freelance et photographe itinérant, il travaille entre Paris et Poitiers.

Au début des années 80, il participe à des stages menés par Claude Dityvon, Guy Le Querrec et Gary Winogrand.

Il construit depuis plus de vingt ans une œuvre attachée aux champs photographiques que sont le  paysage et le  portrait et poursuit une recherche sur les  transformations et observations du territoire social en développant des projets personnels au long cours : le sacré dans les villes de l’Inde du sud, une série tout au long du littoral français, une autre sur les grands salons commerciaux à Paris ou encore sur la crise de l’immobilier en Espagne.

Dans le cadre d’un appel à projets régional (Art Sciences),

En partenariat avec l’Espace Mendes France.

Retrouvez l’intégralité du travail de Claude Pauquet sur son site web !

A propos de son travail, Christian Caujolle écrit :

“Avec finesse, avec une réelle culture de ce qu’apportèrent dans les années soixante-dix des Américains comme Meyerowitz, Stephen Shore ou William Eggleston, Claude Pauquet nous propose de regarder le monde en couleurs, non parce qu’il serait plus réaliste, mais parce qu’il transforme la couleur en matière (sujet ?) de sa photographie…”.